Il est étrange d'avoir le physique d'un homme beau et élégant. Même si cela fait quatre ans que tu ressembles à... un acteur de cinéma, quand tu te regardes dans le miroir, tu t'attends toujours à voir le bossu, aux yeux perdus avec la machoire quelque peu décalée et... moche. Et pourtant, grâce à cette De Kavisto, tu es... ce qu'on peut qualifier d'un bel homme. La contrepartie est forte, être muet n'a pas été facile au début. Seulement.. grâce à ton precepteur étant enfant, tu apprends vite. Ainsi, tu as appris la langue des signes. Cependant, tu t'es rendu compte que dans cette ville, tu étais l'un des seuls à la connaître et qu'il était, alors, pas facile de se faire comprendre. Ainsi, tu as décidé, d'en devenir professeur et d'offrir la possibilité au sourd et muet d'être plus reconnu au sein de cette ville. Ainsi, tu aides chaque enfant de Dieu et tu espère te faire pardonner de ton escapade à la fête des fous lorsque tu étais encore Paris, plusieurs dizaines d'années plus tôt. Claude Frollo ne semble pas te pardonner, mais tu as souvenir que l'archidiacre disait "le seul pouvant te juger pour tes actes est Notre Père à tous." Tu avais hoché la tête. Toutefois, celui que tu considères comme ton père à toi, c'est Claude et tu aimerais qu'il te pardonne et t'aime vraiment. Ainsi va la vie...
Aujourd'hui, tu devais te rendre à Ozero Way. Tu apprécies ce quartier. Tu n'y mets les pieds que tous les dimanches et seulement pour la messe, mais tu aimerais en connaître plus de ce quartier. Seulement, aujourd'hui, ce n'est pas pour visiter que tu viens dans le coin, mais pour donner des cours à deux jeunes femmes. Tu n'as pas vraiment l'habitude d'avoir ce cas si particulier non plus. Tu avais échangé des mails avec cette Isabela Madrigal. La demoiselle t'avait expliqué qu'elle aimerait apprendre la langue des signes avec sa cousine. Rien d'anormal jusque là, cela te fait plutôt plaisir qu'on te contacte directement. Seulement, dans ce cas précis, la cousine est une super-entendante. Isabela souhaite pouvoir communiquer avec sa cousine sans devoir lui chuchoter ce qu'elle veut lui dire ou lui défoncer les tympans. Ainsi, tu trouves cela tellement généreux et gentil que tu as accepté en faisant payer le prix du coup à moitié prix. Tu ne fais payer que l'une des deux, au final.
Arrivant devant l'adresse indiqué, tu sonnes et sort une carte de visite. Tu fais un signe pour dire "Bonjour." Et lorsqu'elle ouvre la porte tu lui tends la petite carte avec écrit dessus. "Je suis Quentin Frollo, le professeur des langues des signes." Tu as un sourire content sur le visage. Tu as aussi un carnet et un stylo à porter de main dans le cas où tu dois te faire comprendre dans l'immédiat. Tu ne sais pas si elles ont des bases, alors tu préfères prendre les devant.
(c) princessecapricieuse
Humain
Quentin C. Frollo
Multicomptes : Kimo | Zaïan | Zira | Gaston | Victor | Hadès | Peter P. | Phoenix | Noah | Jack | Mathilde Expérience : 1668 Messages : 28 Date d'arrivée : 30/04/2022
He’s the moon when I’m lost in darkness and warmth when I shiver in cold. And his kiss still thrills me, even after a millennia. His heart overflows with the kindness of which this world is not worthy of.
Mois de mai ensoleillé, Isabela ne pouvait qu’en être ravie et elle l’était sincèrement. Son jardin n’en était que plus radieux, ce merveilleux jardin dont elle avait pris autant soin que l’entreprise qu’elle avait créé. Elle aimait tant les jardins, ls plantes et les fleurs, une passion avant que cela ne devienne sa magie officiellement. Le temps radieux aurait pu pousser Isabela à sortir dans d’autres circonstances, à vivre, en cette journée de repos, pour elle et non pas pour les autres. La météo lui donnait envie de se diriger à Hutan Hitam et voir de nouveaux horizons ou plutôt des environs qu’elle n’avait pas l’habitude de voir comme des champs. Si certains pouvaient trouver cela ennuyeux, elle trouvait cela passionnant et ce depuis son arrivée.
Son arrivée avait été quelque peu controversée. Elle n’aurait jamais dû se retrouver à Eureka Springs et si elle l’avait su réellement, elle ne serait pas venu, pas dans ce pays dont les prédécesseurs politiques ont causé la mort d’abuelo non. Cela avait été un affront et un manque de respect envers l’Encanto mais une fois à Eureka Springs il était trop tard même si la jeune femme aimerait retourner là-bas un jour quand elle le pourrait ou du moins essayer de retourner dans ce qui était à l’origine l’Encanto. Il ne faisait pas de doute que, aujourd’hui’hui, il n’existait plus, qu’il ne pouvait plus exister puisque tous les habitants en étaient partis notamment ceux et celles qui le faisaient vivre : la famille Madrigal. Alors la jeune femme tentait de vivre une vie à peu près normale bien qu’elle détestait cet endroit et l’organisme qui l’avait fait venir ici, rancune tenace.
Pourtant un ou deux points restent encore à clarifier : Pourquoi Isabela ne partait pas de chez elle en cette si belle journée de mai ? Pourquoi restait-elle chez elle au lieu de sortir dans un autre quartier comme elle le souhaiterait d’ordinaire ? La raison était simple tout comme l’explication. Dolores, la cousine d’Isabela, avait un soucis qui ne s’était pas réglée avec son arrivée à Eureka Springs. Elle avait l’ouïe développée, une chose qui était considérée comme un miracle mais il s’agissait également d’une malédiction. Alors la brune avait eu une idée, qu’elles apprennent le langage des signes afin de pouvoir communiquer sans faire plus de mal que nécessaire à ses pauvres oreilles. Les deux cousines qui avaient toujours été si proches se sont alors accordées sur cette idée, une idée de génie d’après Dolores. Cependant il faudrait bien apprendre d’une manière ou d’une autre et pour le moment la meilleure solution restait d’apprendre chacune de leur côté afin de ne pas faire trop d’erreur au début.
Isabela était tombée sur une publicité en ville, à Dawn Thown, concernant un professeur particulier en langage des signes. Elle s’était renseignée auprès de deux ou trois personnes et finalement l’idée avait été approuvée par la brune : elle se devait de par ses services. Après tout elle gagnait assez pour se permettre de payer un professeur particulier et permettre à Dolores de souffrir un peu moins n’avait pas de prix. Elle l’avait contacté par mail et ils avaient conclus après quelques mails de réserver cette journée pour commencer tout ceci, ces cours de langage des signes. La jeune femme attendait et finalement il était arrivé et elle faisait face à un grand homme à la chevelure aussi brune que la sienne. Elle prit la petite carte qu’il lui tendit entre les mains, la lit et afficha ensuite un sourire radieux, se décalant pour le laisser entrer avant de prendre la parole.
— Bonjour monsieur Frollo, je vous en prie entrez, vous pourrez vous installer sur la table, c’est tout droit !
La jeune femme avait installé ce qu’il fallait dans la cuisine. Elle avait mis deux verres et deux tasses avec une carafe remplie d’eau, une théière remplie de thé et la cafetière remplie de café noir. Avec ceci il y avait du sucre, du lait et du citron. Elle avait pris cette initiative pour que l’homme puisse se servir immédiatement si il avait soif et que cela soit plus simple.
— Je vous ai mis de quoi boire sur la table, vous pouvez vous servir, l’informa-t-elle depuis la porte.
La jeune femme ferma la porte derrière elle et se rendit, après Quentin, jusqu’à l’a cuisine. Il s’agissait d’une cuisine à l’américaine, ouverte sur un grand salon. De là il y avait une grande baie vitrée donnant sur un magnifique jardin fleuri et coloré donnant lui-même sur le lac. Elle appréciait cette pièce plus que tout au monde, un havre de paix.
Mademoiselle Madrigal est une jolie femme. Des cheveux noirs ébènes, une peau brune caramélisée, des yeux foncés mais qui respire la joie, pétillant autant que la rosé sur un pétale de rose blanche au soleil matinale. Elle est assez grande. Si tu avais encore le dos bossu, elle serait surement plus grande que toi. Esméralda doit faire à peu près sa taille. Depuis ton vœu, tu peux te tenir droit, fini le dos bossu plié en deux… fini ton oedeme sur ton œil… fini le brun malade donnant sur le roux. Tu es un bel homme, au visage pas parfait mais plus facile à regarder, avec un sourire charmeur. Des cheveux brun qui te tombent sur le visage, une taille élancée, tu atteins facilement le mètre qutre-vingt-dix maintenant. Tu entres sous invitation de la jolie demoiselle, un sourire charmeur sur le visage, dont tu ne fais pas exprès qu’il soit si éclatant En passant devant elle, tu sens son odeur sucré qui lui correspond si bien. Tomberais-tu déjà sous son charme ? Dieu seul le sait. Tu te diriges dans la cuisine, sans te faire prier. Tu attrapes le citron que tu mets dans un verre, et tu ajoutes de l’eau. Tu adorais boire une bonne citronnade en cette journée de printemps assez douce en température. Puis, tu amènes le verre à tes lèvres et tu lèves les yeux en même temps. Et là… Quel spectacle. Une baie vitrée magnifiquement propre donnant sur un jardin avec lac magnifique. Tu n’avais encore jamais vu autant de couleur de ta vie. Tu poses ton verre et t’approche de la baie vitrée. Tu restes quelques secondes à regarder cet endroit sublime. Tu te tournes vers la jeune femme. Tu la montres de ton index, puis l’extérieur, du genre… « C’est vous qui avez fait cela ? » Tu reprends ton carnet et ton stylo. Tu griffones quelques mots. « C’est magnifique. Bravo. » Tu lui tends le carnet avec un sourire. Tu as beau être ébahis par pratiquement tout… La, tu n’avais encore jamais vu cela. Puis, tu griffonnes de nouveau quelques petites phrases. « Votre cousine est-elle présente ? Il est mieux que vous appreniez ensemble en vue de la raison de cet apprentissage. Avez-vous quelques bases ? » Tu souris en lui tendant le papier. Tu attends qu’elle lise et te réponde avant d’attraper ton verre et de boire une gorgée, tu regardes du coin, le jardin de la belle mademoiselle Isabela. Tout à fait à son image, du moins ça colle à la première impression qu’elle t’a donné.
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Humain
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He’s the moon when I’m lost in darkness and warmth when I shiver in cold. And his kiss still thrills me, even after a millennia. His heart overflows with the kindness of which this world is not worthy of.
Isabela a toujours été particulièrement fière de ses oeuvres mais depuis qu’elle avait quitté l’influence d’Abuela, elle avait l,Impression que ses créations revivaient de nouveau. Elle ne faisait plus fleurir uniquement des roses et il n’y avait aucun rose par ailleurs, nul part. En partant sur un nouveau départ, Isabela a dit au revoir à son ancienne elle qui semblait être une rose superficielle. Aujourd’hui elle souriait, riait et vivait pleinement sa vie en la croquant à pleine dent. Elle ne pouvait plus faire fleurir qu’un seul type de fleur et n’être qu’une fille parfaite dans une bulle qui se voulait parfaite. Alors oui la jeune femme était particulièrement fière du jardin qu’elle avait créé de ses mains entre autre.
— Oh oui j’ai toujours eu une passion pour le jardinage si je puis dire, ça m’a pris un moment mais il est vrai que c’est magnifique, c’est ce qui me plaît avec une petite vue sur le lac ! Un paysage de rêve.
Son paysage de rêve. En visitant ce chalet elle avait visualisé tout ce qu’elle avait fait ici et cela était devenu rapidement son paysage et la demeure de ses rêves. Une demeure à elle qu’elle avait façonné elle-même de ses propres mains. Il ne s’agissait pas de quelque chose que sa grand-mère avait voulut, au contraire même, c’était quelque chose qui symbolisait une seule et unique chose : le renouveau.
Tandis que le jeune homme commença à écrire quelque chose sur son carnet, Isabela se servit elle aussi de l’a citronnade, la recette de sa mère bien que cette boisson n’ait pas les mêmes effets qu’au sein de l’Encanto. Néanmoins cette boisson gardait un certain sentiment de nostalgie et de réconfort aux yeux de la brune qui avait toujours de la citronnade dans son frigo peu importe la période de l’année qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige. Puis elle lut les quelques mots inscrits sur le carnet avant de répondre ces mots au brun :
— Pour tout vous avouer ma cousine, Dolores, est un peu surchargée par le travail pour les trois prochaines semaines à venir. Nous avons donc décidé d’apprendre chacune de notre côté, pour les bases du moins avant de nous retrouver à apprendre ensemble, histoire de gagner un peu de temps ? La brune fit une pause avant de continuer. Concernant mes bases actuelles elles se limitent aux lettres de l’alphabet. Elle fit les signes de A à D comme exemple avant de continuer. Et je sais dire ‘je m’appelle Isabela’.
La jeune femme espérait que cela serait suffisant et que l’absence de Dolores ne serait pas un frein puisque toutes les deux ont envie de développer cela au plus vite afin de pouvoir ménager les oreilles de cette pauvre Dolores qui a dû suffisamment souffrir dans sa vie à ce niveau-là.
« Vous êtes une artiste très douée. » Dis-tu en langage des signes oubliant pratiquement que Isabela ne comprendrait peut-être pas. Tu es tellement impressionné que tu en oublies qu’elle ne parle pas couramment le langage des signes. Tu regardes autour de toi, et encore le jardin. Puis, tu écoutes le fait que Dolores Madrigal ne sera pas présente ce jour. Tu hoches alors la tête comprenant et ça ne te pose aucun problème. Tu hoches de nouveau la tête quand elle te montre ce qu’elle sait dire et faire pour le moment. Ainsi, tu lui réponds par le même genre de phrase. « Je m’appelle Quentin. » L’histoire de jauger sa compréhension. Puis, tu sors de ton sac une feuille plastifiée où se trouve dessus des mots écrit en lettre capital et en noir. Il y en avait dix. Tous dans un thème particulier. « BONJOUR. », « AU REVOIR. », « MERCI », « DE RIEN », « S’IL TE PLAIT », « DESOLE », « ADIEU », « BONNE JOURNEE », « OUI » et « NON ». Tu les éparpilles sur la table et la regarde en souriant. Tu attrapes ton carnet et tu lui écris les mots suivants. « Avez-vous des idées de comment signe-t-on ces mots ? Essayez, je corrige, vous reproduisez. » Tu lui tends le papier et tu affiches un sourire. Ce n’est pas évident d’apprendre quelques choses à autrui quand on ne parle pas. Seulement, tu as appris vite le langage des signes, même des termes que tu n’utilises jamais. Tu voulais prouver à ton « père » que tu étais capable de réussir quelques choses en plus d’être devenu élégant. Maintenant, tu veux aider autrui à considérer le langage des signes comme une langue très importante. Car si, rester muet, est important pour toi et ton choix, certaines ne l’ont pas choisi.
Legendes Gras : c'est signé Italique : C'est écrit
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Quentin C. Frollo
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Isabela ne comprit pas vraiment ce que venait de lui dire le bru n’étant que débutante mais elle prit cela comme un compliment vis à vis de la discussion qu’il venait d’avoir alors elle lui lança poliment un simple et grand sourire radieux, aussi radieux qu’elle pouvait l’être dans ses bons jours, chose qui arrivait plutôt régulièrement depuis que sa grand-mère ne maitrisait pas toute sa vie. Sans doute aurait-elle été contre ces cours, surtout en apprenant que sa petite fille serait seule avec un homme alors qu’elle n’était pas mariée et il ne faisait sans aucun doute que la jeune femme n’aurait jamais contrarié son Abuela sur le sujet.
Puis le June homme vint à présenter des fiches plastifiées pour connaître le niveau de la jeune femme, bien entendu elle avait quelques bases. Toutes ? Pas vraiment. Si elle se trompait, son égo en prendrait un coup mais depuis qu’elle était arrivée à Eureka Springs ele réagissait mieux qu’avant. Elle n’avait plus autant de pression sur ses épaules elle n’avait plus besoin d’êttre si parfaite même si elle continuait à vouloir perpétuer cette image dans ‘esprit des gens qui la voyaient. Elle ne se voyait pas ne pus être perçue comme parfaite, elle ne se voyait pas prendre les critiques à son égard forcément de la bonne manière. Finalement et même si elle ne l’avouera jamais, il y avait un point indéniable entre Isabela et son abuela : leur cruel manque de confiance en elle caché par un égo qui fait barrière.
— Bien alors…
La brune commença à faire le bonjour. Elle positionna ses doigts en les collant et fit un mouvement partant de a bouche à l’avant en souriant. Ensuite elle décida de tenter le au revoir et elle rabattit les quatre doigts de la paume mais le fit une fois au lieu de deux. Le suivant, Merci, s’effectua pour sa part en faisant un mouvement vers le bas avec sa main droite depuis sa bouche. Elle effectua par la suite les bons mouvements pour le Oui et le Non puis s’arrêta là, sachant pertinemment qu’elle ne savait pas faire le reste.
— C’est à peu près tout ce que je sais faire, je ne vais pas vous mentir.
Elle préférait être honnête plutôt que d’essayer des gestes approximatifs par déduction et se ridiculiser.
Isabela s’exécute. Elle sait déjà dire le plus important en soit. Tu ne pars pas de zéro non plus. Tu hoches la tête alors qu’elle te dit que c’est à peu près tout ce qu’elle sait faire. Tu dois corriger deux ou trois petites choses sur ces mots là, mais rien de dramatique. Tu sors une autre pancarte avec un mot que tu lui montres. Tu lui montres en langage des signes en levant tes mains de part et d’autre de ta tête et les secoue deux fois. « BRAVO. » avec un sourire et la pointant du doigt, tu la félicites en lui apprenant. Puis, tu ramènes vers toi les mots qu’elle a pas fait pour corriger ceux qu’elle a fait. « BONJOUR » tu le glisse vers elle. Il était parfait, pour cela tu lèves un pouce en l’air. « AU REVOIR. » tu montres deux doigts et tu lèves la main baissant deux fois les quatre doigts. Tu baisses ton bras puis recommences. Puis, tu lui montres la seconde possibilité, le au revoir classique en bougeant la main de gauche à droite énergiquement. « MERCI » tu le glisse également devant elle. Elle n’a pas confondu les deux, pour ça tu effectues un « BRAVO ». Puis, tu glisses les deux « OUI » et « NON » et tu lèves le pouce vers elle.
Tu n’as gardé que le « AU REVOIR » devant toi. Tu poses ton index dessus et tu lui remontres les deux possibilités. Puis, tu lui fais signe de le faire. Elle réussi, naturellement et tu le glisses devant elle, en effectuant un autre « BRAVO ». Tu attrapes ton carnet et tu griffonnes quelques choses. « Je suis agréablement surpris. Vous avez déjà des bases solides. » Tu lui souris en lui tendant le carnet. Tu le poses à côté de toi et tu reprends tes mots non utiliser que dispatche devant elle. « S’IL TE PLAIT » , « DE RIEN » , « DESOLE » , « BONNE JOURNEE » et « ADIEU ».
Tu commences par « BONNE JOURNEE » qui est pour toi le plus difficile. Par ce fait, tu montres le mot « bonne » tu colles tes 5 bouts de doigt de ta main gauche que tu places devant ta bouche et tu avances ta main vers l’avant. Tu remontres « bonne » et tu recommences. Puis, tu montres journée, tu grimaces pour faire comprendre que c’est difficile. Ce mot doit être précis, sinon ça signifie « soir » au lieu de « journée. » Tu place ta main gauche ouverte devant ton ventre tu passes ta main droite ouverte derrière ta main gauche avant de mettre ta main droite devant la gauche. Tu recommences plusieurs fois au ralentis. Puis, tu effectues le mot en entier. Tu l’encourage à essayer avant de passer à un autre mot.
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